Réclamées, au travers de slogans et pancartes, des marches politiques, non violentes, pacifiques, blanches ou silencieuses, de mobilisations, d’écrits, de conférences et de propositions et ce depuis des décennies, la justice et l’égalité restent toujours lettre morte pour les arabes et les noirs de France. Ce droit universel, humaniste est-il inaudible par la République.
Les cités populaires : miroir grossissant des difficultés sociales, politiques et économiques du pays. Tous les chiffres en rouge au niveau national passent à l’écarlate dès qu’il s’agit des quartiers populaires : école, chômage, taux d’échec, taux d’absentéisme, demandes de logements sociaux…
Les meurtres sur fond de trafic de drogues et d’armes amènent deuil, insécurité, incompréhension et colère justifiée. Que de marches blanches à travers toute la France ! Que de collectifs, pour à chaque fois, soutenir des familles endeuillés et seule face à la police et à la justice.
Jusqu’à quand ?
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Déjà engagé au sein de collectifs, des associations, des partis politiques, une nouvelle génération prend la relève pour ces combats qui perdurent et abiment la cohésion sociale et l’image de la France, « pays des droits de l’Homme »
hier comme aujourd’hui
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